La mortalité du XIVe siècle s’aggrave (peste, guerre, famine, cataclysmes) et soulève le poids des fléaux et des peurs, celle de la vie brève surtout (espérance de vie se limite autour de 30 ans). L’idée de la mort obsède tous les esprits par l’excès des maux et des désordres; elle se traduit par une horreur physique de l’anéantissement de la chair et la fin de toute volupté; elle évoque aussi les images horribles de l’enfer, châtiment divin si souvent brandi par les prêtres. Mais plus on cache la mort, plus on la nie, plus elle nous traumatise car nous ne sommes plus préparés à la mort. Voila pourquoi il est important d’en parler.
Une des façons de s’exprimer à son sujet est la religion: “nous apprenons à faire ce passage vers le Père tout au long de nos vies pour mieux vivre le passage quand l’heure sera venue”. Pour d’autres, la mort n’est qu’un mauvais moment à passer dans un tunnel mais si la mort n’est rien, alors ni la Passion ni la Résurrection n’ont de sens. Que devient donc la Foi et la vie humaine serait-elle sans but? S’il n’y a rien après la mort, ni punition, ni récompense, il faut alors chercher à donner sens à sa vie autrement que sur le modèle d’un Dieu. Dans ce cas, il est plus important d’avoir un comportement humaniste, de vivre et de combattre pour des valeurs de solidarité, de vérité, de justice qui, déjà, donnent sens à la vie. Vivre le plus intensément possible parce que la vie aura une fin et que chacun est responsable de ce qu’il aura fait ou non de son existence, responsable devant un justicier.
L’enquête a été menée auprès de 53 patients ayant survécu à un arrêt cardiaque dans 25 hôpitaux, situés notamment aux États-Unis et au Royaume-Uni. Près de 40 % d’entre eux ont affirmé avoir des souvenirs de ce qui s’était passé pendant qu’ils étaient « morts ».
Il s’agit d’un phénomène universel qui se produit partout dans le monde, bien que chaque expérience soit unique en soi.« Ce ne sont pas des hallucinations. Ce sont des expériences bien réelles qui se produisent dans la mort » L’Expérience de Mort Imminente : définition On peut dire qu’une EMI rassemble l’ensemble de visions et de sensations vécues et rapportées par des patients se trouvant en mort clinique (arrêt de la circulation et de la respiration) ou lors d’un coma avancé. Elle se caractérise par une succession de phases, bien identifiées aujourd’hui. Les EMI ne sont pas un sujet d’étude scientifique : on ne peut jamais reproduire l’expérience ! Seules 10 à 20 % des personnes dans les situations de mort clinique vivent une EMI ; ce n’est donc pas un phénomène généralisé, automatique. On ne peut donc se baser que sur les témoignages… Le changement d’état du corps: Il semble ne plus avoir de corps matériel. Il peut prendre de la distance, traverser les murs, s’éloigner dans l’espace. .Le tunnel: dans 1/3 des cas, le sujet est comme aspiré à grande vitesse dans un long tunnel débouchant dans un domaine inconnu “non terrestre”, au bout duquel il aperçoit une lumière blanche, éclatante, dorée, “aussi brillante qu’un million de soleils”, mais pas du tout aveuglante. • L’Être de lumière: les personnes rencontrent un Être de lumière qui dégage un amour extraordinaire, indicible, inconditionnel, infini. Tous ceux qui m’en ont parlé l’ont fait avec beaucoup d’émotion, les larmes aux yeux ; tous se sont sentis aimés comme jamais auparavant. C’est, pour eux, une rencontre inoubliable qui les a transformés en profondeur ; une expérience ineffable. • La vision des proches décédés: beaucoup de ceux qui ont vécu des expériences de mort imminente rencontrent des personnes défuntes de leur famille. Une personne a même rencontré une sœur biologique dont elle ne connaissait pas l’existence. • La revue de vie: les mourants disent percevoir le film de leur existence passée en un seul coup d’œil. L’Être de lumière semble tout connaître d’eux, posant la question : “Qu’as-tu fait de ta vie ?” avec beaucoup de tendresse, sans blâme ni reproche ou culpabilisation, mais en même temps avec toute l’exigence de l’amour. • La frontière : l’une des entités présentes fait alors savoir que son heure n’est pas encore venue, qu’il doit retourner dans son corps. Il y a là une sorte de limite, de barrière. Le retour dans le corps est souvent décrit comme une expérience difficile. Les personnes ont l’impression de se retrouver dans une enveloppe trop petite pour eux.
Toutes les expériences de mort imminente ne sont pas positives! Certaines sont effrayantes, angoissantes, infernales! On les estime à 2 ou 3 %, chiffre qui est probablement sous-estimé car il est encore plus difficile d’en parler. Ces cas-là sont décrits comme proprement traumatisants.Ce qu’ils en disent ? S’être trouvés dans des lieux épouvantables, horribles, dépourvus de lumière et d’espérance, dont ils sont très heureux de revenir. Eux aussi, bien sûr, sont marqués à vie. Ils le vivent comme une leçon et se demande comment et pourquoi ils en sont arrivés là. Ils remettent alors en question leurs choix de vie préalables à l’EMI pour ne pas revivre la même chose à leur mort définitive.
Globalement, nous pouvons distinguer deux types d’entités.
Les âmes de défunts : De multiples facteurs peuvent inciter une âme à s’accrocher aux vivants. Cela peut engendrer diverses manifestations, des cas bénins aux cas graves, voire létal.
1. Les fantômes : Un fantôme est formé par l’énergie non transformée de l’âme humaine.
2. Les esprits : Un esprit est formé par l’énergie transformée de l’âme humaine.
Après les dégagements, les gens me demandent souvent si les entités étaient des esprits démoniaques. Les esprits et les démons ont une place dans chaque culture. Elles vous chacune leurs propres manières de les définir et de les traiter. L’étymologie du mot démon, vient du grec ancien δαίμων, daímôn qui signifie «divinité, génie». Qu’est-ce qui fait qu’une entité peut venir s’accrocher à quelqu’un ? De manière très globale, c’est un déséquilibre énergétique qui est à l’origine de l’arrivée d’une entité. Et la nature du déséquilibre, ainsi que sa localisation est directement lié à la nature de l’entité qui vient. Donc, après un dégagement, il est important de traiter la problématique énergétique de la personne (animal, lieu…), afin qu’elle ne soit plus sujette à une oppression ou une possession par une entité.
Physique : une lumière ou un appareil électrique qui s’allume ou s’éteint, une montre qui s’arrête définitivement à l’heure du décès. Visuel : vision partielle ou complète du défunt ou apparition symbolique comme les papillons, les oiseaux ou les arcs-en-ciel. Olfactif : une odeur évoquant le défunt.
Les objets mal placés
Vous avez peut-être remarqué que certains objets disparaissent mystérieusement d’un endroit à un autre dans votre maison. La plupart du temps, c’est l’esprit de vos proches décédés qui déplace les choses d’un endroit à un autre. Généralement, des objets comme des bijoux, des flacons, ou des objets qu’ils utilisaient quand ils étaient vivants sont manquants.
Les senteurs
Le sens de l’odorat est fortement associé à la mémoire. Habituellement, un parfum accompagne la présence d’un esprit. Ainsi, pour communiquer avec vous, ce proche pourrait utiliser le parfum qu’il avait, l’odeur de sa nourriture préférée ou de ses fleurs favorites.
La bonne personne au bon moment
Les personnes disparues restent dans nos cœurs, elles se manifestent parfois de façon discrète, ce qui nous rappelle souvent leur présence. Sur notre site, nous avons d’excellents médiums qui peuvent vous conseiller après le départ d’un être cher.